« Reprendre le 10 rue Sainte-Catherine,
c'est continuer une tradition plus que centenaire. »

2014 - 2022

BEBA & COLAS MICHARD

Toujours soucieux de la présentation des produits, l’architecture de la boutique est en constante évolution. Les agencements successifs ont permis de porter la surface de vente à 330m2 entre la rue Sainte-Catherine et la galerie Bordelaise. L’entreprise familiale fait naturellement appel à Beba Michard cofondatrice de l’agence d’architecture Sarthou Michard Architectes à Bordeaux.

Cette étroite collaboration a permis de façonner un espace sur mesure qui a vu défiler plusieurs générations de Bordelais.

smarchitectes.com
1978 - 2014

JEANNE + PP MICHARD

Après des études commerciales, Pierre Pascal Michard fait ses armes auprès de Charles Jourdan qui le forme au bureau de style, la production et le négoce. Jeanne Michard termine sa formation d’étalagiste et de communication quand ils décident de s’installer à Bordeaux en 1978.

Nouvel acteur de la belle endormie, ils font le pari de s’installer dans la rue Sainte-Catherine. L'artère commerciale a débuté sa piétonisation l’année précédente et le déplacement de la zone de chalandise située autour du triangle d’or n’est pas encore acquise.

Ils débutent l’activité avec une offre haut de gamme de chaussures italiennes et font leur place à Bordeaux grâce au développement du rayon enfant. c’est un succès commercial immédiat et la boutique s’impose très vite comme une institution.

« Partir de Périgueux, venir à Bordeaux, et s'imposer comme une référence. »

1945 - 1978

GENEVIÈVE & HENRI MICHARD

Henri Michard intègre l’entreprise familiale en 1950 après une formation à l’école de la chaussure de Romans.

En 1968 au départ à la retraite de son père. Henri reprend la direction du magasin. Il développe l’activité et ouvre plusieurs magasins dans le Périgord. C’est l’âge d’or du commerce local dans les villes de province et il doit son succès aux relations fortes nouées avec les fournisseurs de la région de Romans et l’import de chaussures italiennes.

En 1982, sa fille Laurence et son mari Jérôme Tenaillon rejoignent l’affaire et assurent encore aujourd’hui la pérennité de l’activité.

1935

IRÈNE ARDILLIER & ETIENNE MICHARD

En 1935, Irène Ardillier et son mari Étienne Michard commencent à travailler dans l’affaire familiale Ardillier. En 1937 au décès du patriarche, les 9 enfants se partagent les affaires lors d’une vente à la chandelle.

Irène et Étienne récupèrent le stock haut de gamme et se déplacent sur les boulevards où ils ouvrent leur premier magasin avenue Montaigne sous l’enseigne Michard Ardillier.

La boutique historique de la rue Taillefer est cédée à Max Ardillier qui reste sur un créneau moyen de gamme. Les autres enfants continueront dans la chaussure sous d’autres enseignes et leurs descendants perpétueront l’activité.

« Ainsi, Ardillier devint indisociable
de Michard et vice-versa... »

1878

HENRI ARDILLIER

Tout a commencé en 1878 quand Henri Ardillier a ouvert son premier magasin rue Taillefer. Il se développe rapidement dans toute la région Périgourdine avec la vente sur les marchés.

Au début du siècle, il créé des catalogues de vente avec des slogans accrocheurs et étend son activité aux colonies. Il aura 9 enfants, dont 7 travailleront dans l’affaire familiale. C’est le début d’une longue lignée d’artisans chausseurs qui garderont tous la passion pour le commerce et sauront transmettre ce savoir-faire aux générations futures.